Bataille de la ligne Tannenberg

Bataille de la ligne Tannenberg
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Postes de première ligne.
Informations générales
Date du au
Lieu Monts Sinimäed, Estonie (URSS)
59° 22′ 32″ N, 27° 51′ 17″ E
Issue Victoire tactique allemande
Belligérants
Drapeau de l'Allemagne nazie Reich allemand Drapeau de l'URSS Union soviétique
Commandants
Drapeau de l'Allemagne Felix Steiner
Drapeau de l'Allemagne Fritz von Scholz
Drapeau de l'URSS Leonid Govorov
Forces en présence
3e SS-Panzerkorps
26e corps d'armée
2e armée de choc
8e armée
8e corps de fusiliers estoniens
  • 136 830 soldats[6]
  • 150 véhicules blindés[7]
  • 1 680 canons d'assaut[7]
  • 546 avions[4],[5]
Pertes
Estimation contemporaine :
2 500 tués ou disparus (source allemande)
7 500 blessés ou malades[8]
6 chars détruits[7]

Total : 10 000
Estimation contemporaine :
35 000 tués ou disparus (source allemande)
135 000 blessés ou malades[8]
157-164 chars détruits[7]

Total : 170 000

Front de l'Est de la Seconde Guerre mondiale
(Bataille de Narva)

Batailles

Coordonnées 59° 22′ 32″ nord, 27° 51′ 17″ est

La bataille de la ligne Tannenberg (allemand : Die Schlacht um die Tannenbergstellung ; russe : Битва за линию « Танненбер г ») ou la bataille des monts Bleus (estonien : Sinimägede lahing) est un engagement militaire qui a opposé l'armée allemande à l'armée rouge. S'étant déroulée 25 juillet au 10 août 1944 sur le front de l'Est de la Seconde Guerre mondiale, il s'agit du dernier épisode des combats pour le contrôle de l’isthme stratégique de Narva, en Estonie.

L'objectif stratégique de l'opération pour les attaquants soviétiques est la réoccupation de l'Estonie comme base favorable pour les invasions de la Finlande et de la Prusse orientale. Les forces de la Waffen-SS comprennent 24 bataillons d'infanterie volontaires des divisions SS Nordland, Langemarck, Nederland et de la légion wallonne. Environ la moitié de l'infanterie se compose du personnel de la 20e division SS (estonienne n° 1)[9]. La force allemande de 22 250 hommes, composée principalement d'estoniens, mais aussi Norvégiens, Danois, Hollandais et Belges (Flamands et Wallons) font face, à une vague initiale, constamment renforcée, de 138 000 soldats soviétiques. Environ la moitié des hommes de la Waffen-SS sont tués ou blessés, mais les Russes comptent des pertes à la mesure de leurs effectifs et de leur stratégie stalinienne : 170 000 tués, portés disparus ou blessés.

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  6. G.F.Krivosheev, Soviet casualties and combat losses in the twentieth century, London, Greenhill Books, (lire en ligne)
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  9. Richard C. M. Mole, The Baltic States from the Soviet Union to the European Union, Routledge, (ISBN 9780415394970, lire en ligne), p. 48

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